Dans ce premier chapitre, Philippe ouvre les coulisses : terrain vague, Descartes, parapsychologie, expériences sur le hasard, bifurcations de carrière… On commence à comprendre comment se tisse une vie quand on ose écouter quelque chose de plus grand que le mental. Impossible de ne pas avoir envie de voir ce qui va se révéler ensuite.

En partant de la théorie du chaos, de son travail d’innovateur et de quelques hasards décisifs dans sa carrière, Philippe montre comment il a été conduit à remettre en cause le cadre classique de la physique : déterminisme strict, matérialisme, causalité uniquement tournée vers le passé. En s’appuyant sur les grandes théories modernes (relativité, mécanique quantique, univers-bloc, gravité quantique…), il prépare le terrain de la double causalité : un futur déjà largement configuré, mais néanmoins capable de changer sous l’influence de nos intentions et de notre état intérieur. Ce chapitre donne la sensation très claire qu’on commence à quitter la simple spéculation intellectuelle pour entrer dans un territoire où la science rejoint enfin ce que la conscience pressent depuis longtemps.

Dans ce chapitre, Philippe explore la zone de tension entre deux visions radicalement opposées : un univers où tout serait déjà écrit, sans véritable libre arbitre, et un multivers foisonnant de possibles, où chaque observation, chaque décision ferait bifurquer la réalité. À partir des rêves prémonitoires, de la voyance étudiée sérieusement et des découvertes de la mécanique quantique, il montre pourquoi la vision d’un futur figé ne suffit plus. Il introduit alors une idée centrale de tout l’enseignement : l’espace-temps flexible. Grâce à des images très parlantes – la trajectoire d’un GPS qui se recalcule, un tourbillon de futurs possibles, un “tunnel” de réalité qui flotte dans l’océan du vide – il rend tangible cette intuition vertigineuse : notre futur est largement configuré, mais il peut changer… et ce changement, tôt ou tard, rétroagit sur notre présent. C’est là que la question de la synchronicité et de notre véritable pouvoir intérieur commence vraiment.

Dans cette vidéo, Philippe pousse une question vertigineuse jusqu’au bout : et si le futur pouvait réellement agir sur le présent ?

Il revisite les expériences les plus troublantes de la physique quantique – fentes de Young, choix retardé, mesures faibles, intrication à travers le temps – là où l’observation semble remonter le cours du temps et réécrire ce qui s’est passé “avant”.

Puis il quitte la physique pour explorer ce qui dérange encore plus : des tests statistiques sur la voyance, des générateurs de nombres aléatoires influencés a posteriori, des pubs sur le web dont le taux d’achat dépend… du créneau horaire choisi par un hasard “sensible au futur”, jusqu’à cette panne du LHC provoquée par un oiseau et un morceau de pain, interprétée comme un possible “avertissement du futur”.

Au fil du chapitre, une idée s’impose : l’influence du futur ne passe ni par des signaux magiques, ni par des scénarios de science-fiction, mais par une relecture radicale du hasard lui-même.

Si ce que nous appelons “chance”, “coïncidence” ou “synchronicité” était en réalité la signature discrète d’un futur déjà déployé, en train de négocier avec notre présent… comment regarderiez-vous vos propres décisions ? Cette vidéo ouvre une brèche qu’on ne peut plus refermer une fois qu’on l’a vue.

Philippe dresse ici une carte fascinante de dix formes de hasard — psychologiques, biologiques, physiques et quantiques — pour montrer comment certains d’entre eux ne peuvent plus être expliqués par le simple aléatoire.

Il révèle alors comment une partie du futur pourrait influencer notre présent en se manifestant à travers des événements tellement improbables qu’ils semblent “signés”.

Il partage aussi les synchronicités majeures qui ont orienté sa propre vie : des indices répétés, des chiffres qui reviennent obsessionnellement, des moments si précis qu’ils défient toute explication rationnelle.

On sort de ce chapitre avec une seule envie : regarder sa propre vie autrement… et comprendre enfin ce qui se joue derrière ces signes qui insistent.

En partant de Jung et Pauli, Philippe montre comment distinguer une vraie synchronicité d’un simple hasard que l’on interprète trop vite.

Il partage les expériences qui ont bouleversé sa trajectoire de chercheur et l’ont conduit à écrire ses livres, ainsi que des moyens concrets d’entrer soi-même en résonance avec ce type de guidance.

Il dévoile aussi un point clé de son enseignement : comment se libérer de certains conditionnements mentaux, émotionnels et égotiques pour laisser émerger la foi, l’intuition et surtout… cette joie profonde qui, selon lui, est le véritable sceau d’une synchronicité authentique.

À partir du célèbre “démon de Maxwell”, Philippe montre comment l’information peut être liée à l’énergie et pourquoi, au-delà d’un certain seuil de chaos, les systèmes semblent “oublier” leurs conditions initiales.

Il raconte comment ses calculs de billard l’ont conduit à proposer un espace-temps discret et flexible, nécessitant des dimensions supplémentaires, et introduit une notion clé de son enseignement : l’épaisseur du temps, qui prépare toute la suite des vidéos sur le rôle de la conscience et la possibilité de changer de ligne de temps.

En repartant du multivers quantique et des travaux de physiciens comme Yakir Aharonov, Hervé Zwirn ou Alain Connes, Philippe montre pourquoi on ne peut plus séparer la question de la mesure, de l’observateur… et de la conscience.

Il explique la décohérence (le passage d’un monde où tout est intriqué à une réalité classique), ses limites, et comment les notions de bifurcation, de « temps kairos » et d’épaisseur de temps permettent de comprendre comment une intention peut favoriser une ligne de temps plutôt qu’une autre.

Le chapitre se termine par la présentation de l’outil 6naps, développé par Romain Colmar : une plateforme de tirages quantiques (images, légendes, livres) et d’expériences de synchronicité qui permet à chacun de tester, dans sa vie quotidienne, ce lien mystérieux entre conscience, information et futur… avant, idéalement, de se passer de la « béquille » informatique pour retrouver sa propre intuition.

En repartant de l’idée que notre réalité est une construction collective fabriquée par nos cerveaux à partir d’un réel sous-jacent quantique, Philippe explore le lien intime entre la conscience et le vide : ce « vide » n’est pas rien, mais un véritable océan d’énergie et d’information (mousse quantique, gravité quantique, champs quantiques et tourbillons d’éther) dans lequel se préparent les lignes de temps.

La décohérence transforme ce réel totalement intriqué en un multivers de possibilités, mais ne suffit pas à expliquer le choix d’une seule réalité : à certains points de bifurcation, l’observation et l’intention associées à la conscience semblent jouer un rôle de sélection. En s’appuyant sur Roger Penrose et Stuart Hameroff (microtubules, anesthésie, gravité quantique et états quantiques dans le cerveau), Philippe propose une nuance : la conscience ne serait pas produite par, mais bel et bien corrélée à, la réduction d’états quantiques qui s’opère dans une « épaisseur de temps » incluant le futur.

Avec le philosophe Jean-Marc Ferry, il revisite le rêve, le mythe de la caverne de Platon et Kant pour montrer que notre réalité d’espace-temps n’est peut-être qu’une apparence construite, une sorte de projection holographique parmi d’autres niveaux de réel : une « source » non locale (le vide intégral), notre réalité classique, tangible mais construite, sans oublier une couche intermédiaire, fluide, faite de vortex et de potentialités en cours de configuration.

Puis le chapitre s’ouvre sur les travaux de Bernardo Kastrup (idéalisme analytique : tout est conscience), Donald Hoffman (modèle des « agents conscients » et du casque de réalité virtuelle), Michel Bitbol (fin de l’objectivité naïve, interprétation cubiste de la quantique) et Hervé Zwirn. Ensemble, ces approches convergent vers une vision forte : nous vivons dans un multivers de potentialités, structuré par des champs d’information (Sheldrake, Bohm) où la conscience joue un rôle codant et configurant.

Les « miracles » y deviennent alors non pas des violations des lois de la nature, mais des possibles très improbables qui, dopés par la conscience, trouvent enfin le chemin de la décohérence pour exister.

Philippe dévoile comment les Dialogues avec l’Ange — reçus en pleine Seconde Guerre mondiale — ont croisé sa propre quête scientifique : libre arbitre, guidance, futur déjà structuré, joie comme boussole… À travers le témoignage de Gitta Mallasz, les analyses de chercheurs et ses propres découvertes, il montre comment ce texte mystique résonne étrangement avec la physique de la conscience, la notion de « soi hors du temps » et l’idée que nos futurs possibles nous appellent déjà. Pourquoi certaines phrases semblent incompréhensibles… puis deviennent lumineuses des années plus tard ?

Comment savoir si ce que nous ressentons relève de l’âme, de l’ego ou d’un véritable « plan » déjà inscrit ?

Ce chapitre ouvre une porte rare : celle où la science contemporaine rejoint l’intuition la plus intime.

En s’appuyant sur la physique, les neurosciences et des expériences troublantes (Libet, Daryl Bem…), Philippe montre pourquoi le cerveau, à lui seul, ne suffit pas pour expliquer nos décisions.

Et si notre conscience percevait déjà une portion du futur proche ?

Et si cette “avance” de la conscience dans le temps permettait d’expliquer l’intuition, les coïncidences significatives et même certaines expériences dites “paranormales” — sans sortir du cadre scientifique ?

Avec la chercheuse Alice Guyon (CNRS), il revisite les expériences clés sur la décision, la motivation, les signaux cérébraux et propose une lecture totalement nouvelle du libre arbitre : non pas une illusion, mais une capacité réelle à naviguer entre plusieurs futurs possibles.

Ce chapitre donne des bases pour comprendre pourquoi certaines synchronicités semblent répondre à nos questions les plus intimes… et comment nos choix pourraient, littéralement, remodeler notre ligne de temps.

Dans ce chapitre, Philippe et Alice passent en revue les grandes théories actuelles de la conscience (espace de travail global, information intégrée, etc.) et montrent leurs limites : on sait décrire comment le cerveau traite les informations sensorielles, mais on ne sait toujours pas où se trouve la mémoire, ni comment surgit l’expérience subjective — ce fameux “difficile problème” de la conscience.

À partir d’exemples concrets (méditation, états modifiés de conscience, cohérence cœur-cerveau, intuitions, synchronicités, médiums, cas troublants d’aura ou de corps qui ne se décomposent pas), ils explorent une autre piste : et si le cerveau fonctionnait plutôt comme une antenne qui adresse, reçoit et organise une information déjà présente dans un champ de conscience plus vaste ?

Ondes, vide quantique, épaisseur de temps, chakras, aura… Ce chapitre ouvre la porte à un changement de paradigme radical : la conscience ne serait plus un “sous-produit” du cerveau, mais une réalité première, capable d’agir sur l’espace-temps et sur le corps.

Un chapitre dense, courageux et étonnamment accessible, qui bouscule en douceur nos certitudes sur ce que nous sommes vraiment.

Philippe part d’une idée simple mais explosive : si la conscience n’est pas produite par le cerveau, alors l’espace, le temps et même la matière ne sont peut-être que des effets secondaires d’un champ de conscience plus vaste. Il dévoile alors une piste fascinante : un second temps, invisible, dans lequel vibrent les structures profondes du vide.

Ces vibrations pourraient expliquer des phénomènes énigmatiques — cohérence quantique, synchronicités, non-localité — mais aussi… le comportement de l’eau.

Avec Emmanuel Coste, on passe de la théorie aux expériences vécues : vortex, bassins biologiques, eau qui “réagit”, lieux qui semblent plus vivants. Non pas de la magie : une nouvelle physique en train d’émerger.

Un chapitre qui relie vide quantique, eau informée et conscience — et qui donne vraiment envie de savoir jusqu’où cette idée du “second temps” peut nous emmener.

Dans ce chapitre, Philippe propose une idée déroutante : dans le vide, il n’y a plus d’espace au sens classique, mais un univers vibratoire, où l’on peut être “réuni” non plus par la distance, mais par la même “fréquence”.

Les vortex et les ondes de torsion deviennent alors un modèle pour imaginer comment la conscience pourrait : se projeter à distance, se déplacer “hors du corps”, et accéder à des informations situées ailleurs dans l’espace… ou dans le temps.

Avec Jocelin Morisson, on plonge dans les expériences de mort imminente : revues de vie fulgurantes, disparition de la sensation du temps, transformation profonde des valeurs, disparition de la peur de mourir.

Avec Patrice Van Eersel, on découvre comment ces témoignages, associés aux soins palliatifs d’Elisabeth Kübler-Ross, rouvrent complètement notre manière de regarder la fin de vie : la mort cesse d’être un simple “accident biologique” pour devenir un passage de la conscience.

Un chapitre qui relie physique, EMI et accompagnement de la mort, et qui donne envie de revoir toute notre définition de la réalité… et ce qui nous attend de l’autre côté.

Philippe récapitule sa remise en question du cadre classique “rigoureux” de la physique (déterminisme, causalité, matérialité, hasard) et montre en quoi il devient trop étroit dès qu’on veut intégrer les anomalies : synchronicités, rétrocausalité, phénomènes “psi”, conscience non locale… À la place, il propose une image beaucoup plus audacieuse : un espace-temps flexible, fait de lignes de temps entre lesquelles il est possible de commuter ; un réel quantique qui contient toutes les possibilités, dont seule une partie est “condensée” par la décohérence en possibilités de manifestation ; et une conscience qui intervient précisément pour sélectionner l’un des futurs possibles.

De là, il esquisse une cosmogonie en trois “couches” : notre espace-temps physique, où tout est local et collectif ; un réel intermédiaire (un “éther” moderne) où se structurent les potentiels, parcouru de trous de ver, de vortex et d’ondes de torsion ; un vide/conscience véritablement non local, où l’on se rejoint non plus par la position… mais par la vibration.

Micro-trous noirs et micro-trous blancs deviennent alors des portes : ce qui est vécu disparaît d’un côté, se mélange, se mémorise, puis revient sous forme de nouveauté, d’intuitions, de formes de vie plus complexes. La vie elle-même apparaît comme un geste néguentropique de la conscience, qui balaye la réalité par cycles successifs pour faire émerger toujours plus d’ordre et de sens.

Un chapitre assumé et solidement nourri par la physique moderne, qui ne propose rien de moins qu’une cartographie globale de l’univers – et révèle peu à peu comment tout s’imbrique… jusqu’à la place très concrète que pourrait y occuper notre propre vie.

Philippe montre que notre intuition puise dans deux réservoirs : l’expérience accumulée dans une vie entière, explorée en un éclair, et une source plus profonde, reliée à l’âme, au vide, ou à des niveaux subtils de conscience.

Il expose aussi son échelle du discernement, où trop de mental mène à l’aveuglement, et trop d’émotionnel à l’illusion — et comment l’équilibre entre les deux ouvre la voie à une intelligence plus juste.

Puis vient un point clé : la comparaison avec l’IA.

Fort de son expérience pionnière en intelligence artificielle, Philippe explique pourquoi une machine peut surpasser nos performances… tout en restant totalement incapable de ressentir, de saisir le sens ou de vibrer avec l’information.

👉 Un chapitre lumineux, qui redonne toute sa puissance à l’intuition et montre comment l’activer pour penser plus juste — au-delà du mental, des modes, et des illusions de l’IA.

Philippe s’aventure ici sur un terrain rarement abordé : la conscience comme véritable système de navigation.

Moments opportuns, signaux internes, bifurcations subtiles… il révèle ce qu’on ressent tous sans jamais l’expliquer vraiment.

Il évoque aussi des expériences troublantes : perceptions hors du corps, impressions de guidance, visions élargies… autant de témoignages qui réouvrent la question de notre place dans l’espace, le temps… et au-delà.

👉 Un chapitre qui fait vibrer l’idée que notre vie suit peut-être une carte plus vaste que ce que l’on croit.

Philippe repart d’une question simple en apparence : pourquoi tant de théories peinent à expliquer la conscience… et ce qu’elles oublient toutes en chemin.

De là, il ouvre un champ fascinant :

• la Terre envisagée comme un organisme doté de rythmes, de cycles biologiques, d’un “système nerveux” et de capacités visuelles.
• le Soleil considéré comme un système d’une complexité telle qu’il pourrait lui aussi héberger une forme de conscience,
• les plantes, les forêts, les animaux, comme des formes d’intelligence situées sur d’autres densités de temps.
• Des chercheurs comme Rupert Sheldrake, les expériences sur les champs morphiques, la musique des protéines ou la sensibilité des plantes viennent nourrir cette hypothèse d’un monde habité, résonant, conscient à de multiples échelles.

Ce chapitre ne donne pas une réponse définitive : il propose un changement de regard.

Après lui, impossible de considérer la matière comme simplement “inerte” sans ressentir un léger doute… et une profonde curiosité.

Philippe commence par là où tout coince habituellement : pour un scientifique, l’idée qu’une pierre puisse agir sur l’humeur ou la conscience relève du folklore. Puis viennent les cristaux temporels qui restent un mystère en physique, et une question qui ne le lâche plus : qu’est-ce qui se joue vraiment dans la matière cristalline ?

Sa rencontre avec Nathalie Baumann ouvre un autre terrain : un stage où chacun expérimente l’“énergie des pierres”, non pas en croyant, mais en testant. Vient alors une expérience très particulière : une vingtaine de cristaux choisis à l’aveugle, des ressentis notés sans jamais voir les pierres, des significations symboliques établies séparément… puis une intelligence artificielle chargée de comparer les deux mondes.

Les résultats, statistiquement improbables, ne “prouvent” rien au sens classique, mais obligent à reposer la question : et si les cristaux enregistraient réellement des informations liées à la conscience ?

Dans ce chapitre, la lithothérapie quitte le registre du charlatanisme présumé pour devenir une piste sérieuse de recherche : cristaux comme mémoires vibratoires, catalyseurs de changement de ligne de temps, alliés possibles d’un travail en profondeur sur soi.

Après cette exploration, impossible de regarder un cristal de roche comme un simple objet décoratif.

Dans ce chapitre, Philippe revient sur son basculement : d’un physicien sceptique, lassé par le “cirque” des témoignages, à un chercheur décidé à regarder le phénomène OVNI avec ses outils sur le temps et l’information.

Une conférence avec Jacques Vallée, puis des années de dialogues avec des témoins et enquéteurs tels que l’historien Éric Zurcher, le convainquent de la pertinence des huit caractéristiques récurrentes identifiées par ce dernier : mouvements impossibles, formes changeantes, scènes quasi théâtrales, distorsions temporelles, présence insistante de la conscience, etc.

Au lieu de les balayer comme un folklore moderne, Philippe les confronte à sa propre vision du temps et de la réalité.

Peu à peu, un cadre apparaît : le phénomène ne serait pas seulement technologique, ni seulement psychologique, mais toucherait à quelque chose de plus profond dans notre rapport au réel.

Ce chapitre ouvre une question qui traverse tout le programme : et si le “dossier OVNI” était surtout un miroir tendu à notre civilisation pour l’amener, pas à pas, vers un changement de paradigme ?

Dans cette vidéo, Philippe ouvre la porte de ce qu’il appelle la “physique de l’impossible” : tous ces phénomènes dont on se moque, qu’on craint ou qu’on cache, parce qu’ils résistent obstinément à la preuve scientifique classique.

Voyance, visions et apparitions, précognition, vision à distance, clairvoyance, magnétisme, guérison énergétique, télékinésie, poltergeist, pendules, kinésiologie, tarot, Yi King, intuition, synchronicités…

Il ne cherche pas à tout “prouver”, ni à tout avaliser, mais à les regarder autrement, à partir de ce qu’il a déjà posé sur l’espace-temps, la conscience et les lignes de temps. Au centre : un trait commun dérangeant, l’“élusivité” – cette manière qu’ont ces phénomènes de se laisser approcher, puis de disparaître dès qu’on croit tenir une preuve solide.

Plutôt que d’y voir une raison de tout balayer, Philippe propose plusieurs pistes : le rôle de notre état de conscience, la conscience collective, et la manière dont certains phénomènes semblent “jouer” avec le temps.

Puis le chapitre bascule vers ce qui touche chacun intimement : expériences de mort imminente, sorties de corps, mémoire indépendante du cerveau, notion d’âme, réalités de l’au-delà, vies multiples, rôle de l’incarnation… Non pas comme un dogme spirituel de plus, mais comme un imaginaire cohérent qu’il ose articuler avec la physique.

Ce chapitre ne donne pas de réponses définitives. Il trace un paysage. À chacun de sentir ce que ces pistes réveillent en lui sur le sens de sa vie, de sa mort… et ce qu’il pourrait y avoir juste derrière le voile.

Ce chapitre final rassemble tous les fils du Grand Virage : la tentative de nous mener vers un futur transhumaniste et totalement contrôlé… et la manière dont ce scénario est en train de s’écrouler sous son propre poids.

Philippe montre les “signes que c’est déjà sauvé” dans la matière : crise du paradigme matérialiste, percées de la physique sur la conscience et le multivers, reconnaissance officielle de phénomènes longtemps tabous, explosion des pratiques d’autonomie, de soin global, de solidarité locale.

Vu d’en haut, l’humanité n’est pas en train de sombrer, mais de changer de ligne de temps.

Au cœur de ce basculement : notre responsabilité individuelle. Se déconditionner, retrouver le lien à la source, laisser la joie redevenir un acte profondément politique. Non pas en “luttant contre le système”, mais en devenant des exemples vivants : lieux ressources, stages, écovillages, nouvelles pédagogies, initiatives solidaires… dont Le Futé Lumineux n’est qu’un laboratoire parmi d’autres.

Ce dernier chapitre ne se contente pas de rassurer : il appelle. Il invite chacun à reprendre sa souveraineté, à cesser d’attendre des institutions, et à utiliser tout ce qui a été transmis dans les 22 vidéos comme une boussole pour participer, à son échelle, à ce futur lumineux déjà en train de s’écrire.